Jeudi 14 avril
L’idée d’aller au Bol d’Or est née de la participation du team AZ Moto/ART à cette course : quelques discussions avec l’attaché de presse/chargé de comm/bricoleur Arno m’a donné l’envie d’aller photographier leur aventure. Me voilà donc partie à Magny Cours en ce beau mois d’avril pour suivre ma première course d’endurance.
Arrivée le jeudi soir, à la nuit tombante. Les essais et qualifications ont déjà commencé depuis le matin. Dans le box, l’équipe s’affaire, se prépare et surtout s’entraîne.
Dans l’attente du retour de la moto |
Autour de la moto |
Essence |
Sur la ligne droite des stands, c’est la valse des entrées/sorties des motos, des ravitaillements. Il y a des motos dans tous les sens.
Départ d’un box |
Avant d’entrer sur la piste |
22h, les essais se terminent.
Vendredi 15 avril
C’est la première fois que j’allais sur une compétition circuit de cette nature. J’ai adoré l’ambiance dans le paddock et sur la piste. On a aussi eu la chance d’avoir un super beau soleil, bref, c’était top.
Pour cette journée, j’ai surtout fait le tour du circuit pour repérer les bons points de vue pour la photo, en fonction de l’orientation du soleil. J’ai donc crapahuté par l’intérieur du circuit et découvert ainsi le bonheur d’être dans le 180 pour faire des filés facilement !
Les pilotes continuent séances d’essais et séances de qualif.
Dans le virage du lycée, deux styles différents : Steve Plater, tout sur les vibreurs et un pilote d’une équipe BM (désolée, je ne suis pas douée pour reconnaître les pilotes), en épaulé jeté
Steve Plater |
Epaulé-jeté |
Certains sont un peu trop optimistes sur leur trajectoire et font soulever quelques nuages de poussières dans les bacs à gravier.
Graviers |
Tout au long de la journée, les pilotes tournent, les gradins sont plutôt vides, il y a presque plus de spectateurs sur les bords de la piste que sur les sièges.
Jean-Louis Devoyon |
Isolé |
Au bord de la piste |
En fin d’après-midi, les qualifications sont terminées, les essais aussi. Les pilotes quittent la piste jusqu’au lendemain. C’est l’ouverture de la voie des stands au public qui vient voir les motos et leurs pilotes de près.
Avant le lâcher des fauves |
Autographes |